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Un mois

Un mois, c’est l’âge que notre petite Ebène aura atteint demain.
Et, en réalisant cela, je ne peux m’empêcher d’être admirative de tant de progrès accomplis en si peu de jours! Non pas parce qu’il s’agit d’Ebène et qu’elle est née à la vie est belle, bien sûr! Mais bien parce que la magie de la vie opère tellement de jolis miracles au quotidien, miracles qu’il faudrait être aveugle pour ne pas voir!

A un mois, notre petite bonne femme n’a plus rien du petit être rampant qu’elle a été il y a peu. En effet, elle marche, glisse souvent selon sur quelle surface elle évolue. Persévère jusqu’à atteindre son objectif. Elle découvre ses jouets avec beaucoup d’intérêt, de curiosité. Elle interagit avec les membres de sa meute. Et, c’est bien sûr avec Mousse qu’elle a le plus d’échanges ludiques. Quand elle ressent un petit creux, c’est vers sa maman qu’elle se dirige. Cette maman qui assure aussi consciencieusement son hygiène.

Ebène manifeste sa joie en remuant sa petite queue. Elle se blottit dans un coin lorsque la meute se met à aboyer.
J’ai lu que c’est à 35 jours que la vue d’un chiot est équivalente à celle d’un chien adulte. C’est dire que notre petite Ebène n’en est clairement pas loin. Son ouïe fonctionne très bien. Le reste de ses sens également. D’ailleurs, elle n’apprécie pas de marcher dans l’herbe sèche et piquante du jardin.

A un mois, Ebène est un petit personnage très attachant, interactif, intéressant, mignon à souhait. Bref, on se régale de ce petit être au quotidien!

Ebène à 27 jours

Ebène avec sa super pote Mousse

Mousse et Ebène, encore

Maman Eole n’est jamais très loin et veille attentivement sur sa fillette

Progrès

Les progrès de notre petite Ebène vont bon train.

En effet, si sa vue se précise au fil des jours, son ouïe fait à présent partie de ses sens « actifs » aussi. C’est dire que ses sens sont maintenant au complet.

Pour ce qui est de sa mobilité, les progrès sont réjouissants aussi. Sur une surface non glissante, elle commence à faire quelques pas sur ses quatre pattounettes.

Quand je pense à cette petite bonne femme et ses capacités après sa naissance, je me dis toujours à nouveau que cette évolution si rapide est juste magique.

Et puis, il y a aussi ses interactions avec nous, humains, et avec ses congénères. Cette petite queue qui s’agite pour manifester son contentement à notre arrivée. Son plaisir à recevoir des caresses. Sa joie à interagir avec les congénères qu’elle découvre petit à petit.

Tant de raisons de s’émerveiller en côtoyant au quotidien cette si chouette petite bonne femme havanaise!

Ses progrès en images, ça donne ceci :

Et voilà une petite vidéo du jour illustrant joliment les premières interactions entre Ebène, 3 1/2 semaines, et Mousse, quinze mois. Je me réjouis beaucoup de la suite!

Instants

Quelques instants de cette journée en images : voilà ce que je vous propose aujourd’hui!

Ces instants ont bien entendu pour acteurs quelques membres de notre troupeau havanais. Aussi bien notre poupon du mois à la genèse de son existence, que la petite Hélys toujours si craquante. Et que notre petite Ondine douée en clowneries de toutes sortes. Sans oublier, évidemment, notre petite Mousse de presque quinze mois et ses tentatives plus ou moins fructueuses de jeux avec nos félins.

Et puis, la gent ailée n’est pas en reste, bien entendu! Ces petits voisins au gazouillis si charmant, aux coloris divers, à la légèreté magique.
Quelques instants volés aujourd’hui à ce joli couple de chardonnerets très intéressé par les graines de nos tournesols.

Et, malgré la grande sécheresse ambiante, dont les plantes souffrent énormément, quelques courges apparaissent au jardin. Certaines meurent très rapidement, et d’autres se battent pour vivre et prospérer.
Il y a aussi ces bourdons et abeilles, tellement chargés de pollen récolté dans les fleurs de nos hibiscus, qui attirent souvent mon attention. Instants « immortalisés » grâce à un joli bourdon très affairé.

Ces instants, en vidéo et en images, ça donne ceci :

Ebène, 19 jours, avec sa maman Eole

Un chiot de seize jours

De quoi est capable un chiot de seize jours?

Un chiot de seize jours, la plupart du temps, a commencé à voir. Sa vision n’est bien sûr pas nette, mais elle existe, et s’affinera au fil des semaines.
Vivre dans la nuit complète durant ses deux premières semaines d’existence pour soudain entrevoir la lumière, des couleurs, des formes, doit être une grande révolution.

La vue s’est donc ajoutée à l’odorat, au toucher, au goût. Manque encore l’ouïe qui devrait naître ces prochains jours.

A seize jours, Ebène sait se dresser sur ses pattes avant et soulever bien haut sa petite tête. Si ses pattes arrière ne sont pas encore assez fortes pour soutenir le poids de son corps tout rond, ses pattes avant en revanche ont gagné en force.

Ebène profite du lait abondant et riche de sa maman et prospère évidemment à grande vitesse. Quand il s’agit de partager le lait de maman avec trois, quatre frères et soeurs, la prise de poids individuelle est bien sûr moins rapide.

Un pur bonheur que de suivre l’évolution de cette petite bonne femme dont je me réjouis aussi de découvrir la personnalité.

En images ci-dessous, Ebène de onze à seize jours de vie :

Ebène au fil des jours

Ebène au fil des jours prospère bien joliment.

Aujourd’hui, elle est âgée de dix jours. Ses yeux sont encore fermés. Elle n’entend pas. Elle perçoit cependant les vibrations. Encore privée de vue et d’ouïe, elle s’oriente grâce à son toucher et son odorat. Maman Eole a une odeur qu’Ebène n’oubliera probablement jamais. C’est vers cette odeur et cette source de chaleur qu’elle se dirige quand sa maman est dans les parages. L’odeur de sa maman, et aussi bien sûr celle de ce lait si précieux que cette dernière porte sur elle. Ce lait qui permet à Ebène de se développer de manière spectaculaire.

Ebène se déplace à sa manière. Et cette manière, à dix jours, c’est simplement ramper. Bientôt, ses pattes avant lui permettront de se dresser. Mais, une chose après l’autre. Pour le moment Ebène se déplace en rampant vers un but : maman! Et parfois aussi, pour trouver l’endroit opportun où elle va digérer ce copieux « repas » offert par maman Eole.

Si, lors de ses premiers jours de vie, elle avait sa maman constamment auprès d’elle, Ebène au fil des jours, se royaume par moments seule, comme une grande, dans son petit univers.
Eole ne s’éloigne jamais trop de sa fillette. Mais à quelque distance de leur « nid », il y a des endroits où un semblant de fraîcheur règne pour le plus grand bien-être de cette petite maman.

Nos petites jumelles

Pendant une soixantaine de jours, nos petites jumelles ont partagé l’espace que maman Eole leur offrait au-dedans d’elle. Un espace, somme toute « vaste », puisqu’elles n’étaient que deux à y vivre. Si Ebène y a largement prospéré, sa petite sœur en revanche y a occupé un petit espace.

Le jour de leur délivrance, c’est Ebène qui s’est la première élancée vers le chemin de la sortie au grand air, de la liberté. Elle nous est apparue avec des formes généreuses et une belle robe presqu’entièrement couleur de suif. L’arrivée de sa petite sœur a été une surprise, tant elle était menue. Mais, bien souvent, les tout petits font preuve d’une vitalité étonnante. Alors, pourquoi pas cette toute petite chérie !?

A l’air libre, Ebène et sa petite sœur, avec maman Eole aux petits soins, ont partagé quelques petites heures d’existence. Puis, la toute petite créature s’est éteinte. La vie qui lui avait été offerte a été de si courte durée !

Ebène va découvrir la vie au grand air comme fille unique, au sein d’un joyeux troupeau havanais. Et certainement qu’elle gardera comme nous l’empreinte de cette petite jumelle à la vie si brève !

Trois frères et soeur

Ce sont trois frères et soeur, bambins d’Opale et de Charlie, qui nous offrent leur petit clin d’oeil aujourd’hui.
Il y a Honey, Skippy et notre petite Mousse.
Et comme souvent, je vous propose de jeter un coup oeil à leur évolution en vous les montrant bébés, puis adultes.
Aujourd’hui, Honey, Skippy et Mousse ont quatorze mois. Ils ont bien sûr atteint leur taille adulte depuis belle lurette. En effet, la croissance osseuse des petites races s’achève vers six, huit mois environ.

Si Honey ressemble beaucoup à son papa Charlie, Skippy et Mousse, eux, sont la copie conforme l’un de l’autre, Mousse au féminin et Skippy au masculin.

C’est toujours l’assurance de passer de jolis moments que de revoir ces petits lutins chéris que nous avons suivis des semaines durant à l’élevage.
Un chaleureux MERCI aux familles qui nous offrent cette chance!

Voici donc ces trois frères et soeur en images, faisant partie des septuplés d’Opale et de Charlie.

Des bébés à la vie est belle

Des bébés à la vie est belle sont attendus pour la mi-juillet.
Nous nous réjouissons d’accueillir cette nouvelle fratrie, dont Eole et Odilon sont les parents.
La dernière portée d’Eole et d’Odilon date de début mai 2021 : ils nous avaient alors offert cinq fillettes aux robes foncées pleines d’une joyeuse vitalité.
Parmi elles, Zora et Gaya, black and silver à la naissance, ont vu la part silver de leur robe s’étendre peu à peu, à l’image de celle de leur grand-maman maternelle, Jowil du Domaine des Siradaes.

Ci-dessous, Gaya et Zora nées début mai 2021, en images :

Vivement la découverte de cette nouvelle petite famille, que nous accompagnerons pas à pas, durant les dix semaines qu’elle vivra à la vie est belle.

Comme précisé sur notre site internet, les réservations débuteront après les naissances de ces petits trésors.

Et bien sûr que les visites d’élevage sur rendez-vous sont toujours d’actualité.

Des bébés à la vie est belle à la mi-juillet, dont voici les parents en images :

Des bébés à la vie est belle

Une joyeuse troupe

Une joyeuse troupe que celle qui nous offre le petit clin d’oeil du jour!
Cette joyeuse troupe, ce sont les septuplés d’Opale et de Charlie qui fêtent leur année révolue ce jour.
Il y a les trois filles : Happy, Pink et Mousse. Et les quatre garçons : Honey, Gus, Sky et Skippy.

Et pourquoi ne pas faire un petit retour en arrière pour évaluer quelques instants le chemin parcouru!? Je trouve chouette, pour ma part, de revoir cette fratrie alors qu’elle n’en était qu’aux balbutiements de son existence.
Quels beaux souvenirs! Et revoir notre chère Opale maman me fait autant plaisir que de redécouvrir ses bambins nouveaux-nés.

Une année s’est donc écoulée depuis ce fameux quatre mai 2021, qui voyait Opale devenir maman pour la dernière fois!
Un joli chemin parcouru pour ces petits lutins et leurs familles respectives!
Ces tout petits « bouts d’chiens » sont devenus de magnifiques Havanais adultes, joyeux, drôles, sensibles, enthousiastes, vigoureux, infatigables parfois, un brin provocateurs aussi. Bref, des petits chiens heureux d’exister et de profiter de la vie!

Et, pour terminer en beauté, une belle vidéo de Sky et Skippy, célébrant avec joie et enthousiasme la vie!

Skippy et Sky



Des mamans et leurs filles

Des mamans et leurs filles, ou, plus précisément, trois mamans et leurs filles respectives.
Hélys et sa fille Eole; Lutine et sa fille Ondine; et, finalement Opale et sa fille Mousse.
Si les couleurs des robes d’Hélys et d’Eole sont assez semblables, il n’en est pas du tout de même chez Lutine et Ondine, ainsi que chez Opale et Mousse.
Ondine a hérité de la couleur de robe de son papa Kenzo. Et Mousse, quant à elle, n’a, en couleur, ni la robe de maman Opale, ni celle de papa Charlie.
En corpulence aussi, ces mamans et leurs filles sont bien différentes.
Et pour ce qui est des tempéraments, des différences significatives aussi entre ces petites mamans et leurs fillettes.
Bref, on hérite de maman, papa, et des générations qui les ont précédées. De quoi réserver de bien jolies surprises!

Les photos ci-dessous sont significatives des relations diverses pouvant exister entre une maman et sa fille.

La photo d’Hélys et de sa fille Eole démontre l’intérêt qu’Eole a toujours porté à sa maman, alors que la réciproque n’existe pas, ou plus. Non pas qu’Hélys ait été une mauvaise maman du tout. Bien au contraire, elle a été une maman très protectrice, cadrante et tendre à la fois. Mais par la suite, elle a pris des distances évidentes à l’égard de sa fille.

Des mamans et leurs filles

Lutine et Ondine en revanche sont restées proches l’une de l’autre. Ondine, pendant longtemps, a été passer toutes ses siestes tout près de sa maman, sans parler des heures de jeux partagées. Les siestes se déroulent à présent de manière plus indépendante. Et les jeux partagés quant à eux, sont toujours d’actualité.

Venons-en à présent à Opale et Mousse!
Opale n’est pas une chienne joueuse à la base, sinon avec ses chiots. Et voilà que Mousse est restée à l’élevage, et que du coup Opale continue de jouer avec elle. Un plaisir que d’assister à ces parties de jeux, bien pimentées, avec certainement une fillette au tempérament plus affirmé que celui de sa maman.
Une diversité si belle et enrichissante pour chacun, assurément!