Quand le soleil vainc le brouillard, les petits lutins et félins de la vie est belle profitent de ses chaleureux rayons. En effet, la « crudité » transperçante du brouillard dissuade tant chiens que chats à s’éterniser dehors. Mais quand le soleil sort vainqueur de son combat avec le brouillard, alors la lumière et la chaleur de l’astre du jour agissent tel un aimant sur nos joyeux quadrupèdes, et sur nous aussi, bien évidemment!

Cet après-midi, après une succession de moroses journées froides et humides, le soleil est paru, avec sa chaude lumière automnale. Même si les températures n’étaient pas élevées, chacun a apprécié sa bienfaisante présence.

Sur les photos ci-dessous, notre infatigable Eole, à la joie communicative, rebondit au jardin, telle une petite balle magique, alors que Jazz, haut perché, surveille d’un oeil avisé son précieux harem. Jade, quant à elle, déplore ce grillage que Corsaire ne semble pas décidé à franchir, alors qu’elle aurait tant de bisous à lui offrir…

Nos petits soleils havanais illuminent nos journées, que le ciel soit lumineux ou gris. Avec eux, pas de place pour la morosité : leur entrain et leur bonne humeur donnent la tonalité de chaque journée! Ceci étant dit, une journée ensoleillée générera toujours davantage de joie qu’une journée grise tout de même!

Hier, le soleil a brillé du matin au soir. Il nous a gratifié de sa chaleur et de sa lumière si bienfaisantes, à cette saison plus particulièrement. J’aime prendre des photos de mes quatre pattes et de la nature, quand le soleil est au rendez-vous et donne une teinte si joyeuse à tout ce qu’il éclaire.

Aujourd’hui, alors que le brouillard nous environne de son humide et grise présence, j’ai réalisé les montages-photos ci-dessous, où l’on voit notamment la petite Hélys éblouie par le radieux soleil qui nous accompagnait hier.

Jolis portraits cani-félins d’habitants de la vie est belle!

Il y a nos deux petites chipies, mère et fille : j’ai cité Hélys et sa fille Eole! Sur cette photo, elles semblent en plein dialogue, les yeux dans les yeux (dommage que l’on n’aperçoive pas mieux leurs regards respectifs!). La posture d’Hélys pourrait laisser imaginer un appel au jeu, alors qu’Eole, elle, semble envisager de se soumettre à cette maman au tempérament bien trempé. En tout cas, Hélys ne semble pas encore abandonner les leçons d’éducation à donner à sa fille bientôt âgée d’un an et demi. Et le dialogue est franc et direct!

Avec Corsaire et Mirage, les teintes de robes restent les mêmes que celles de nos deux mistonnes Hélys et Eole. La mentalité par contre est bien différente. On passe de l’extraversion méditerranéenne la plus démonstrative à la zénitude asiatique la plus paisible qui soit. Des contrastes intéressants qui se complètent en fait à merveille. Hélys et Eole sont attirées par nos chats de manière irrésistible, et ces derniers répondent à leur amicale folie avec un spectaculaire flegme tout félin.

Hélys, la maman, et Eole, l’une de ses filles

Deux frères : Corsaire et Mirage

Un pêle-mêle de photos de toutes sortes, sur fond automnal, bien évidemment!

On y voit quelques paysages de nos environs proches.

Nos petits  Bichons Havanais batifolant dans les feuilles mortes, ou profitant de se laisser vivre bien au chaud, ont également attiré mon regard!

Ce pêle-mêle comporte également des photos de nos petites chattes, Olive et Cerise : sous l’oeil attentif de sa soeur, Cerise prend plaisir à jouer à l’équilibriste sur les branches de notre beau tilleul bientôt dépouillé de sa belle robe jaune.

Corsaire aussi nous refait voir sa frimousse de beau matou territorial. Il aime aussi amuser la galerie en se cachant sous une couverture.

J’aime toutes les saisons, leur succession toujours à nouveau renouvelée. Mais la luminosité en automne, et le feu d’artifice des couleurs automnales, me remplit d’une admiration toute particulière. Comme si la nature devait encore donner le maximum d’elle-même pour ensuite sombrer dans la mort de l’hiver. Cette mort à laquelle rien ne semble pouvoir succéder!? Et pourtant, le printemps arrive, toujours à nouveau, saison de résurrection, où tout ce qui semblait irrémédiablement mort revient à la vie de façon si magique, si extraordinaire, si miraculeuse!

Par météo grise et humide, nos petits bichons, bien souvent, préfèrent le canapé au jardin. Quelque part, ils sont comme nos amis félins, si flegmatiques lorsque la grisaille règne.

Le canapé d’accord, mais alors entre deux parties de jeux. Parce que jouer, c’est quelque chose qu’on sait bien faire, d’autant plus lorsqu’on est une joyeuse équipe de larrons en foire. Et après une joyeuse partie de franche folie, rien de tel qu’un canapé bien douillet ou qu’une couche bien moelleuse!

Et évidemment que si un félin s’aventure dans nos parages, il recevra sa dose de léchouilles bien appuyées. En effet, un petit bichon, avec ses origines méditerranéennes, se doit d’être démonstratif à souhait!