Archives mensuelles : octobre 2018

Fiston pourrait être son nom

Fiston pourrait être son nom…

Je croyais lui avoir trouvé la famille capable de partager sa joie de vivre avec lui, et ce, jusqu’à la fin de ses jours… Mais non, je m’étais trompée ! Bien trop de doutes et de conditions, pour que j’aie l’assurance que Fiston recevrait là tout l’amour inconditionnel qu’il mérite tellement.

Alors, Fiston, quelle famille, quel couple, quelle personne saura savourer ta joie de vivre si démonstrative, ton agilité hors du commun, tes preuves d’affection si évidentes, ta drôlerie communicative ! Qui, ne se lassera pas, toute ta vie durant, de plonger son regard dans le tien, si doux, si candide, si amoureux ? Qui saura cheminer, main dans ta patte, fidèlement à tes côtés jusqu’à la fin ?

Je me réjouis pour toi de rencontrer cette personne-là ! Tu la mérites tant, adorable petite personne !

Chiot Bichon Havanais bicolore

Fiston pourrait être son nom

Pour conclure, je copie-colle ce texte que l’on m’a transmis, et dont je ne connais pas l’auteur :

Avoir un chien, ce n’est pas posséder.
Avoir un chien, c’est être.
Ce n’est pas être « propriétaire ». C’est être « responsable ».
Ce n’est pas être « maître ». C’est être « partenaire ».
Le vrai « maître », c’est le chien. Pas parce qu’il nous domine, mais parce qu’il nous enseigne.
Avoir un chien, c’est exister. C’est exister pour un être qui n’a d’yeux que pour vous. Qui ne vit que pour vous.
Ce n’est pas céder à un « il est trop mignon », à un caprice ou à une pulsion.
Même s’il en faut un peu, du caprice. Il faut être capricieux envers soi-même pour avoir le courage de sauter le pas, de se dire un jour « je ne serai plus un. »
Deux, on peut l’être pendant plus de 15 ans.
Il faut une part de courage pour décider d’avoir deux ombres pendant si longtemps.
Mais avoir un chien, ce n’est pas « je prends ce qui m’arrange ».
Ce n’est pas prendre le mignon, la douceur et l’affection, et faire abstraction du reste.
Ce n’est pas demander à un animal d’être une peluche ou un robot.
C’est accepter l’imperfection. C’est se faire à l’idée que tous les chiens ne sont pas exactement comme on les avait rêvés.
C’est s’adapter à lui autant que lui fait d’efforts pour s’adapter à nous.
C’est apprendre à le comprendre et même à l’anticiper.
C’est lâcher son écran pour lancer une balle. C’est enlever ses chaussons et mettre ses chaussures. C’est quitter sa couette pour sortir dans le froid et sous la pluie. C’est ramasser des crottes, éponger des vomis ou d’éventuels pipis. C’est aller chez le vétérinaire de nuit, un jour férié. C’est faire face aux contrariétés, de la bêtise la plus anecdotique à la douleur la plus insurmontable. C’est dépasser les incompréhensions en se donnant les moyens de bâtir une relation forte, saine et harmonieuse. Et digne, jusqu’au bout.
Avoir un chien, c’est avoir ce que les autres appellent des « contraintes ».
Mais avoir un chien, c’est être convaincu que ce que les autres appellent des « contraintes »… n’en sont pas.
Parce que tout ce qui peut être considéré comme une contrainte est précisément ce dont le chien a besoin.
Par amour, il faut répondre à ces besoins.
Et aucune preuve d’amour sur Terre n’est une contrainte.

Nos joyeux chérubins au jardin

Nos joyeux chérubins au jardin pour la première fois!
Un événement de taille, que celui-là, le jardin étant tellement autre que l’espace de vie intérieur de nos poupons.
Une fois parachutés au jardin dans leur cage de transport, et la porte de celle-ci ouverte vers cet inconnu, nos poupons ont un instant d’hésitation. Que faire? Aller vers cette nouvelle liberté? Ou se contenter du connu, du rassurant? Heureusement, cet instant de doute a été de courte durée, et la porte de la liberté a été franchie. Prudemment d’abord. Puis en sautillant. Puis en gambadant joyeusement.
Quel bonheur pour nous de voir ces jeunes êtres prendre si vite de l’assurance dans un monde totalement inconnu jusque là!
La sieste qui a succédé à cette belle découverte d’espace et de liberté a dû être peuplée de jolis rêves tout neufs pour nos joyeux petits chérubins si mignons et attachants!

Quelques superbes photos

Quelques superbes photos ayant pour sujets des petits Havanais nés à la vie est belle, ainsi que leurs compagnons de vie.

Il y a la petite Chanel née à la vie est belle, fille de Lutine et de Jazz, avec son compagnon de vie Darius, né lui à la vallée du rêve, mais dont les grands-parents maternels ne sont autres que nos Melody et Gauguin.
Merci pour ces magnifiques images sentant bon les vacances, qui sont un véritable plaisir pour les yeux!

Et puis, c’est toujours aussi un grand plaisir de découvrir les belles photos provenant de la famille de Mia, dans leur magnifique campagne :

Et finalement, merci de nous permettre de savourer des yeux les splendides images de Sandra, avec son oeil indéniablement artistique.
Sandra a pour compagnon Sam né à la vie est belle, un charmant petit noiraud d’Opale et de Jazz. Et Sam a la chance de partager sa vie avec Rocky, un ravissant petit Havanais fauve charbonné, avec lequel il vit une bien belle complicité!
Merci pour ces photos qui respirent la beauté, la sérénité, et une douce joie de vivre.

Six ans révolus

Six ans révolus pour Pato, Kaly, Yumi et Haddock, les quatre joyeux lutins de la deuxième portée d’Hélys, dont Jazz est le papa.

Il est vrai que je n’annonce pas systématiquement sur ce blog les anniversaires de tous les lutins nés à la vie est belle. Il m’arrive cependant de le faire, notamment quand toutes les familles des chiots d’une portée réagissent à mon « joyeux anniversaire », entre autres, en envoyant des photos et nouvelles de leurs lutins.

C’est le cas aujourd’hui, et c’est avec grand plaisir que je publie les photos de ces joyeux quadruplés, qui se sont retrouvés à plusieurs reprises après leur départ de l’élevage.

Longue et belle vie à ces quatre gais lurons qui se portent à merveille et sont bichonnés à souhait par leurs familles!

Nos joyeux lutinets

Nos joyeux lutinets poursuivent leur belle progression.
A bientôt cinq semaines, les voilà toujours plus habiles, et très démonstratifs de leur joie de vivre et de leur affection.
C’est un plaisir et un privilège très gratifiant de pouvoir les accompagner au quotidien, observer leurs progrès,  leur offrir de nouvelles découvertes. Découvrir chaque jour un peu mieux le tempérament de chacun. Leur donner notre amour et recevoir leurs si touchantes démonstrations d’affection.
Maman Lutine de son côté passe le plus clair de son temps à proximité de ses précieux bambins. Et s’ils reçoivent des visites, elle veille à ce que tout se passe comme elle l’entend. Sacrée petite maman, tellement protectrice de ses rejetons!

Ci-dessous, une petite vidéo, et quelques photos de nos joyeux lutinets âgés de cinq semaines moins deux jours. Soyons précis! 😉

 

Charly nous raconte

Charly nous raconte un peu de sa vie, avec son style bien à lui, si sympathique à lire.
Charly est  l’un des fils d’Opale et de Jazz, né début décembre 2016.

« J’ai vu que tu as de nouveau des petits chez toi. Tu dois avoir beaucoup de travail. Mais ils sont tellement mignons. Ça me rappelle le temps où j’étais encore chez toi avec Cléo, Brindille, Cooper, Sam, Touffy et moi. On était vraiment une belle équipe. Et ça bougeait pas mal. C’est beaucoup plus tranquille chez moi maintenant. Bon, j’ai deux très bonnes copines. D’abord Singha, le petit Coton qui vient assez souvent chez moi, et avec qui je vais très souvent promener. Je vais aussi chez elle quand ma maîtresse ne peut pas me prendre avec elle. Comme cet été, elle ne pouvait pas me prendre avec elle en vacances. Mais je crois, elle s’ennuyait plus que moi. Car chez Singha il y a deux chats, et j’adore des chats. Je pourrais jouer toute la journée avec eux. Malheureusement, ils ne veulent pas jouer toute la journée. Alors quand ils en ont assez ils se réfugiaient sur leur arbre. Et moi je n’arrive pas à grimper là-haut. Dommage. Puis il y a encore Lol, (aussi une fille!) un Lagotto Romagnolo. C’est le chien de nos voisins. Alors avec elle c’est des course poursuites dans le champs et des petits bisous à travers la clôture dans le jardin. Puis il y a évidemment ma famille. Je l’adore. La journée je suis seul avec ma maîtresse, on fait de longues promenade dans la forêt. Mais on va aussi au marché à Lausanne. J’adore, il y a tellement d’odeurs partout, un vrai festin. Puis parfois on va au bord du lac. Si j’adore une chose, c’est l’eau. Partout où il y a de l’eau je dois aller dedans. Une gouille, une rivière, un lac, une fontaine. Alors parfois ma maîtresse n’en peut plus. C’est vrai, quand je me couche dans le petit ruisseau lors de notre promenade matinale, j’en sors plutôt sale et une douche s’impose. Mais si je le refais l’après-midi, tout propre, et je ressors tout sale, ma maîtresse n’est pas très contente. Car même si je suis un petit chien plutôt sage, qui obéit bien, le « NON » de ma maîtresse pour m’interdire d’aller dans la rivière, je n’écoute pas. C’est plus fort que tout. Se coucher dans l’eau, c’est le plus joli truc qui existe au monde. Même s’il fait froid. Une fois, l’hiver passé, je suis allé dedans, même que la température était négative. Heureusement la rivière n’est pas loin de notre maison, mais ça a suffit pour former pleins de glaçons sur mes poils et mes pattes. Mais ma maîtresse m’a donné un bain pour me réchauffer et m’a dit de plus jamais faire cela. De coup elle m’a toujours attaché, dès que nous nous sommes approchés du ruisseau…
Quand ma maîtresse me dit qu’on va en promenade, je comprends très bien. Alors je me lève, mais je me couche aussitôt devant la porte d’entrée. Ben oui, pourquoi être debout si on peut être couché. Par contre quand elle part sans moi, oui ça lui arrive, vous rendez vous compte ? Elle ne me prend pas avec quand elle fait des commissions au supermarché. Ce n’est pas sympa du tout. Alors suis pas non plus sympa. Je me couche devant la porte et je ne bouge plus une oreille. Elle n’arrive pas à ouvrir la porte. Elle me dit d’aller dans ma corbeille. Parfois je le fais, mais le plus souvent je reste planté là, devant la porte, sur le dos et je me fais tout lourd. Souvent elle doit rigoler quand je fais cela, elle me dit que je suis vraiment un pacha et qu’elle revient assez vite. Puis elle est obligée de me déplacer en me portant. Hihihi. Mais je fais pas de bêtises quand elle est loin, je suis grand maintenant. »

Merci, Charly! Ta manière de raconter diverses péripéties de ta vie est vraiment géniale!

Maintenant, place à quelques images de ce cher Charly :

Charly nous raconte sa vie

Quelques petits personnages

Quelques petits personnages, plus ou moins jeunes, résidant à la vie est belle, viennent nous faire un petit clin d’oeil aujourd’hui!
Je vais les commenter au fur et à mesure de leur apparition!
Commençons par le duo super complice composé d’Odilon, quatre mois, et d’Ondine, quinze mois.

Puis, une image d’Easy (en blanc et fauve), et de son frère Mika, tous deux âgés de quatre semaines, et qui commencent à animer la vie est belle de leurs cris joyeux!

On poursuit avec une image bien représentative de notre joyeuse et adorable petite « chieuse » – j’ai nommé Hélys – qui aime tant allumer ses semblables jusqu’à les excéder, et pousse des hauts cris quand Odilon ose faire pareil avec elle! Hélys va sur ses dix ans.

Une jolie photo ci-dessous d’un trio trop craquant : celui de nos trois garçonnets âgés de quatre semaines, fils de Lutine et de Jazz!

Et puis, le joli profil de notre belle et douce Eole, fille d’Hélys et de Kenzo, à la belle robe crème et fauve charbonné :

Ondine est la demi-soeur d’Eole puisqu’elles ont le même papa : Kenzo. Elle est aussi la grande demi-soeur de nos actuels bébés, puisqu’elle est une fillette de Lutine.
Une belle petite Havanaise d’une grande gentillesse, sensibilité et joie de vivre.

Et pour finir, la sympathique et jolie binette de notre petit ourson Odilon âgé de quatre mois, qui s’est installé confortablement et généreusement au sein de notre meute.

Y a d’la joie

Y a d’la joie chez les p’tits lutins de la vie est belle. D’la joie exprimée par leurs postures, par leurs cris, par leurs regards, par leurs jeux!
Ils ont vingt-six jours! C’est magique, non, une telle évolution!
Il y a trois semaines, ils passaient leurs journées à dormir, manger et éliminer. Ils se déplaçaient en rampant. Ils étaient sourds et aveugles. Et aujourd’hui, à même pas  quatre semaines, ils marchent, nous regardent, agitent leur petite queue pour montrer leur contentement, réagissent aux bruits, tentent de manger de la pâtée, redemandent des câlins. Ils poussent des cris, des grognements. Et adoptent, au ralenti souvent et maladroitement encore, les mouvements, postures, expressions, bruits, d’un chien adulte. Moi je trouve ça épatant, et j’en suis toujours à nouveau émerveillée!

Ci-dessous, une petite vidéo exprimant bien ce « Y a d’la joie », et quelques photos de nos précieux poupons que nous découvrons chaque jour un peu plus!