Fiston pourrait être son nom

Fiston pourrait être son nom…

Je croyais lui avoir trouvé la famille capable de partager sa joie de vivre avec lui, et ce, jusqu’à la fin de ses jours… Mais non, je m’étais trompée ! Bien trop de doutes et de conditions, pour que j’aie l’assurance que Fiston recevrait là tout l’amour inconditionnel qu’il mérite tellement.

Alors, Fiston, quelle famille, quel couple, quelle personne saura savourer ta joie de vivre si démonstrative, ton agilité hors du commun, tes preuves d’affection si évidentes, ta drôlerie communicative ! Qui, ne se lassera pas, toute ta vie durant, de plonger son regard dans le tien, si doux, si candide, si amoureux ? Qui saura cheminer, main dans ta patte, fidèlement à tes côtés jusqu’à la fin ?

Je me réjouis pour toi de rencontrer cette personne-là ! Tu la mérites tant, adorable petite personne !

Chiot Bichon Havanais bicolore

Fiston pourrait être son nom

Pour conclure, je copie-colle ce texte que l’on m’a transmis, et dont je ne connais pas l’auteur :

Avoir un chien, ce n’est pas posséder.
Avoir un chien, c’est être.
Ce n’est pas être « propriétaire ». C’est être « responsable ».
Ce n’est pas être « maître ». C’est être « partenaire ».
Le vrai « maître », c’est le chien. Pas parce qu’il nous domine, mais parce qu’il nous enseigne.
Avoir un chien, c’est exister. C’est exister pour un être qui n’a d’yeux que pour vous. Qui ne vit que pour vous.
Ce n’est pas céder à un « il est trop mignon », à un caprice ou à une pulsion.
Même s’il en faut un peu, du caprice. Il faut être capricieux envers soi-même pour avoir le courage de sauter le pas, de se dire un jour « je ne serai plus un. »
Deux, on peut l’être pendant plus de 15 ans.
Il faut une part de courage pour décider d’avoir deux ombres pendant si longtemps.
Mais avoir un chien, ce n’est pas « je prends ce qui m’arrange ».
Ce n’est pas prendre le mignon, la douceur et l’affection, et faire abstraction du reste.
Ce n’est pas demander à un animal d’être une peluche ou un robot.
C’est accepter l’imperfection. C’est se faire à l’idée que tous les chiens ne sont pas exactement comme on les avait rêvés.
C’est s’adapter à lui autant que lui fait d’efforts pour s’adapter à nous.
C’est apprendre à le comprendre et même à l’anticiper.
C’est lâcher son écran pour lancer une balle. C’est enlever ses chaussons et mettre ses chaussures. C’est quitter sa couette pour sortir dans le froid et sous la pluie. C’est ramasser des crottes, éponger des vomis ou d’éventuels pipis. C’est aller chez le vétérinaire de nuit, un jour férié. C’est faire face aux contrariétés, de la bêtise la plus anecdotique à la douleur la plus insurmontable. C’est dépasser les incompréhensions en se donnant les moyens de bâtir une relation forte, saine et harmonieuse. Et digne, jusqu’au bout.
Avoir un chien, c’est avoir ce que les autres appellent des « contraintes ».
Mais avoir un chien, c’est être convaincu que ce que les autres appellent des « contraintes »… n’en sont pas.
Parce que tout ce qui peut être considéré comme une contrainte est précisément ce dont le chien a besoin.
Par amour, il faut répondre à ces besoins.
Et aucune preuve d’amour sur Terre n’est une contrainte.

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