Cleo a trois mois. Bientôt trois semaines qu’il a vu partir sa fratrie avec tristesse. Mais plus trace de tristesse à présent. Il s’est bien vite fait à son nouveau statut de seul chiot au milieu d’une meute d’adultes. Il n’a que l’embarras du choix quant à savoir avec qui il va engager une partie de jeu. Il y a bien sûr papa Jazz, très joueur, et maman Opale, toujours prête à partager un moment avec son fiston, que ce soit pour le nettoyer ou pour s’amuser avec lui, tout en profitant de lui dispenser une petite leçon d’éducation. Mais il y a aussi tous les autres! Et ce matin, c’est avec Lutine que Cleo a partagé une super partie de jeux, que j’ai profité d’immortaliser.

L’heure du départ de la vie est belle va bientôt sonner pour notre cher petit Cleo : un compagnon si gentil, enthousiaste, câlin, attentif, sensible, joyeux, et j’en passe! La vie sera belle pour lui : on ne peut qu’offrir une belle vie à un si attachant petit compagnon!

Cleo, trois mois, avec Lutine, quatre ans

Cleo avec maman Opale et papa Jazz

Cleo et Lutine en plein jeu!

Nos bébés progressent joliment. Demain, ils auront atteint leurs trois semaines de vie. Quelle belle évolution en trois semaines! Les petits êtres aveugles, sourds et rampants, nés il y a vingt jours, sont devenus des petits chiens aux visages éclairés par une magnifique paire d’yeux expressifs, sensibles aux bruits, et qui tentent maladroitement de se déplacer sur leurs deux paires de pattes. Ces petits chiens s’approchent de moi quand je me tiens près de leur nid, et agitent même la queue pour montrer leur contentement. Ils apprécient les caresses et aiment poser leur petite tête sur mon bras. Je suis toujours à nouveau émerveillée de tant de progrès en si peu de temps. Et je ne me lasserai de le répéter. Le miracle de la vie qui se développe, pas après pas : d’abord in utero, puis, au grand jour! Ce miracle à la vue duquel il est impossible de demeurer indifférent à moins d’être inhumain!

Des regards tout neufs : ceux de nos poupons, enfants de Jade et de Kenzo, aujourd’hui âgés de seize jours.

Des regards parlants : pleins de candeur, de douceur, de fraîcheur.

Des regards qui découvrent le monde, sans en avoir la moindre notion : d’abord de manière floue, puis toujours plus précisément. Un monde – pas toujours joli, il faut bien le dire – mais sans malveillance aussi longtemps qu’ils vivront à la vie est belle.

Des regards qui vont se préciser, s’affiner au fil du temps, qui vont prendre des expressions diverses : malicieuses, joyeuses, interrogatives; tristes peut-être parfois, craintives, et j’en passe.

Et j’espère de tout coeur que les regards de ces quatre précieux petits lutins exprimeront toute leur vie durant la joie de vivre qu’ils auront connue durant les premières semaines de leur existence à la vie est belle.

Nos bambins havanais ont à présent douze jours. Les voici en images dans leur douce et sombre quiétude.

Commençons par cette belle image de notre douce Jade chocolatée protégeant jalousement ses précieux bambins. Une petite Jade dont la douceur du regard, celle du coloris de sa robe, et celle de son tempérament forment un ensemble si harmonieux!

Prenons le temps de nous arrêter sur quelques petits détails si magiques du développement de nos bambins havanais : leurs minuscules griffes qui poussent; leurs jolis coussinets qui noircissent par endroits; leur petite truffe et son pourtour qui se colore; leurs poils qui prennent de la longueur… Que de coups de baguette magique à observer!

J’aime contempler la scène de cette petite princesse havanaise assoupie contre ce nounours inerte; nounours présent à quasi chaque portée depuis le tout début de notre élevage il y a dix ans, et offert par une très chère amie.

Nos chers quadruplés rassemblés! Bien que chacun se trouve encore dans une sorte de nuit silencieuse, la recherche de l’autre avec sa chaleur, le rythme de sa respiration, sa présence, est toujours bien réelle.

Magique apparition, au milieu du doux poil chocolaté de maman Jade! Et quel contraste de couleurs entre la robe de la maman et celle de sa fille! Rien à voir, pourrait-on penser! Et pourtant!…

A la vie est belle encore quelque temps, Cleo, après avoir été très attristé par le départ de sa fratrie, s’est fort bien accommodé de son nouveau statut de seul grand bébé au sein de la meute des grands. Et dans cette meute, il y a bien sûr cette chère maman Opale, si tendre et ferme à la fois, qui lui dispense encore très volontiers quelques énergiques leçons d’éducation. Et il y a bien d’autres potes de jeux encore : quand ce n’est pas maman Opale, c’est Eole, ou Lutine, ou encore Mookie; ou papa Jazz, quand celui-ci n’est pas trop préoccupé par les odeurs de son harem. Enfin, bref, il y a de quoi faire, et petit prince Cleo ne s’en prive pas. Sa vie est finalement autant passionnante bien que différente, de ce qu’elle était au sein de sa fratrie.

Et si Cleo a finalement oublié cette maternité dans laquelle il s’est tant amusé – puisqu’à présent occupée par grand-maman Jade et ses quadruplés – maman Opale, en revanche, est toujours tentée d’y retourner, elle qui semble cependant avoir bien vécu le départ de ses rejetons, d’autant plus que bébé Cleo est encore avec nous pour quelque temps. Une transition finalement assez douce et bénéfique à chacun, même si les départs groupés de cinq des sextuplés a bien engendré quelques tristesses passagères!

Passons aux photos de Cleo, fils d’Opale et de Jazz, âgé de deux mois et demi :

Nos quadruplés à six jours se portent très bien. Leur progression est réjouissante. Les petites truffes roses se colorent gentiment en noir par petits points successifs. On aperçoit également quelques coussinets noircis. Leur poil est chaque jour un peu plus long. Ils prennent peu à peu de jolies rondeurs. A l’approche de maman Jade, une jolie effervescence s’installe au milieu d’eux : maman Jade, synonyme de tendresse, d’hygiène, de santé (c’est elle qui les stimule pour qu’ils fassent leurs besoins), de nourriture. Et comme nos petits amis sont encore sourds et aveugles (leurs yeux sont encore fermés), c’est grâce à leur odorat et au toucher qu’ils s’orientent dans leur petit nid, qu’ils s’approchent le plus vite possible de ces fameuses tétines, leur prodiguant le bon lait tiède qui les fera prospérer de manière spectaculaire durant les premières semaines de leur existence. Et téter, parfois juste tétouiller, n’est pas seulement, bien entendu, une manière de se nourrir, mais également une source de plaisir d’un grand bienfait.

Les uns nous quittent; les autres nous rejoignent…

Les premiers sont les chiots d’Opale et de Jazz qui ont atteint leurs 10 semaines, et rejoignent peu à peu leurs familles respectives. Restent encore à la vie est belle le petit Cooper et l’ami Cleo, qui ne manquent pas de s’amuser avec qui les veut bien comme compagnons de jeux. Aujourd’hui, au jardin, leurs compagnons de jeux étaient en fait des compagnes de jeux  : maman Opale évidemment; Lutine, et la petite Eole. Les trois cadettes de nos adultes, en fait.

Et ceux qui nous rejoignent, qui sont-ils??? Ils sont évidemment les nouveaux-nés de Jade et de Kenzo, tant attendus, et accueillis « à mains ouvertes »! Quatre ravissantes petites « personnes », aux robes sombres, arrivées parmi nous dans la nuit du neuf février.

Cette nouvelle fratrie est composée de deux p’tits gars aux robes noires et blanches. Et de leurs soeurettes, dont l’une est black and silver (noire et argentée), et l’autre toute noire avec une fine cravate blanche. Ce joli petit monde est vigoureux, et maman Jade est aux petits soins auprès de ses derniers rejetons.

Nos garçonnets gambadent au jardin, alors que de son côté, la petite Brindille fait connaissance de son nouveau lieu de vie. Et de sa grande soeur Réglisse également, puisque cette petite chanceuse de Brindille a le privilège de partager sa vie, non seulement avec sa famille, mais également avec sa grande soeur de deux ans son aînée. Deux petites chiennes de corpulence et de caractère similaires au même âge, dont la cohabitation va assurément être chouette.

Revenons à nos garçonnets, heureux de gambader dans ce jardin qu’ils connaissent à présent bien, en compagnie de leur maman Opale qui se fait autant plaisir qu’eux à se dépenser ainsi.

Et pendant que nos mistons se poursuivent à toute allure, lentement mais sûrement, Jade se prépare de son côté à accueillir les petites vies qui gigotent joyeusement dans son petit bedon.