Voilà sept semaines aujourd’hui que nos sept joyeux lurons sont parmi nous.
Ils pètent la forme, sont débordants de joie de vivre. La maison résonne de leurs cris joyeux, de leurs « bagarres » destinées à voir qui est le plus fort. La durée de leurs siestes est à la mesure de ce qu’ils se dépensent lorsqu’ils sont éveillés.

Nous nous régalons de cette joyeuse équipe. Et pas seulement nous, les humains! Il y a leurs deux super potes, Minon et Ebène, qui sont aussi très fan de ces petites personnes. Minon plus particulièrement! Le petit Tika notamment est tombé sous le charme de cette « grande » poilue blanche et brune.

A sept semaines, nos septuplés sont particulièrement friands de l’extérieur avec toutes les découvertes que le jardin leur offre. Ils sont curieux, téméraires parfois. Ils sautent, escaladent, testent. Tout les intéresse, les passionne.
Sur une portée, il y en a toujours un ou une qui fait tout avant les autres. C’est Hoi An, en l’occurrence, qui est la curieuse et la fonceuse de service. Un sacré petit personnage, que cette belle petite Havanaise!

Le lait de maman Mousse attire toujours irrésistiblement nos petits lutinets. Mais leur bouillie, ils la connaissent à présent bien aussi. Forcément : maman Mousse n’a plus forcément envie de les allaiter si souvent! Elle a donné durant sept semaines, et la source va bientôt tarir!

Place à présent aux images de nos lutinets de sept semaines, bambins de Mousse et d’Odilon!

41 jours de vie aujourd’hui, c’est-à-dire 6 semaines moins un jour, pour nos petits amis havanais, bambins de Mousse et d’Odilon.
Et comme je le dis souvent, et je le pense si souvent aussi, quelle évolution magique depuis le jour de leur naissance!

A présent, nos poupons havanais ont quatre petites pattes bien stables. Leur petit poids fait bien sûr qu’ils perdront plus facilement l’équilibre qu’un chien adulte. Mais ils font déjà preuve d’une jolie aisance dans leurs déplacements.
Marcher, courir, sauter, escalader, enjamber n’est pas problématique pour eux.

Tous leurs sens sont à présent en éveil et ils savent fort bien les utiliser.

Maman Mousse leur offre toujours son bon lait qu’ils ne rechignent jamais à boire. Et plusieurs bouillies par jour leur sont également proposées.
En effet, leurs quenottes pointant timidement et lentement à l’horizon, croquer des croquettes avec ses gencives n’est pas top. Ils apprécient donc la nourriture semi-solide qui leur est proposée.

Les sorties au jardin sont, pour ces poupons de 41 jours de vie, un moment fort apprécié. Il s’agit cependant de profiter du plein air durant les heures les moins chaudes de la journée. En effet, leur petit volume et un système de refroidissement du corps moins performant que celui des humains, font qu’ils ne doivent en aucun cas être exposés à des chaleurs élevées.

Place à présent à quelques photos et une petite vidéo :

35 jours : c’est l’âge de nos gais lurons havanais, bambins de Mousse et d’Odilon.
Eh oui, incroyable mais vrai : cela fait déjà cinq semaines que ces si attachants petits personnages sont visibles, audibles, tangibles parmi nous.

Ils se portent super bien, ces joyeux petits compagnons si chouettes à côtoyer.
Petit à petit, on découvre les personnalités des uns et des autres. Tous les sept forment ensemble une joyeuse troupe qui aime découvrir, explorer, tester, imiter.
Leur grand modèle, c’est bien sûr leur maman Mousse. Mais pas seulement!
A présent, ils ont découvert la meute des « grands ». Et parmi ces « grands », les plus intéressées à les côtoyer de près sont bien sûr nos petites crapules de cadettes, Ebène et Minon.

Ebène et Minon sont folles de joie lorsqu’elles reçoivent la visite des tout petits. Tellement enthousiastes qu’il s’agit de réfréner quelque peu leur joie si démonstrative et parfois quelque peu dénuée de douceur.
Mais les échanges entre tout petits et adolescentes sont très jolis à observer. Et chacun y trouve assurément son compte.
Du côté du reste de la famille, ni grand-maman Opale, ni même papa Odilon ne montrent un intérêt particulier pour ces petites personnes si craquantes!

Ci-dessous, un montage-photos de nos joyeux septuplés de 35 jours. Et un autre démontrant quelques mignons échanges entre Ebène, Minon et Hoi An, Tika.

Quatre semaines révolues que nos petits septuplés issus de Mousse et d’Odilon sont parmi nous.
Une bande de gais lurons qui croque la vie à pleines… gencives! En effet, leurs quenottes devraient percer sous peu, mais ce n’est pas encore chose faite!

A quatre semaines révolues, on marche, on court, on tombe, on escalade, on est curieux de tout, on explore… Bref, la vie dans un lieu de vie progressivement élargi, est passionnante.

Les interactions entre chiots consistent beaucoup à montrer à l’autre « c’est moi le plus fort », à dormir pelotonnés les uns contre les autres, à se lécher réciproquement.
Maman Mousse stimule – mais les chiots sont à présent capables de faire leurs besoins sans être stimulés – assure l’hygiène de ses bébés.
Pour ses petits, maman est bien sûr la source de lait qui leur procure tant de bien-être. Mais tellement plus que cela! On peut observer des instants tendres entre Mousse et ses petits.

Si, à quatre semaines révolues, les tétées des petits sont encore bien présentes dans leur vie, les repas-bouillies sont aussi une réalité quotidienne qui semble appréciée.

Ci-dessous, un montage-photos de nos septuplés. Y figurent également leurs parents, Mousse et Odilon, et leur grands-parents maternels, Opale et Charlie.

Ils ont trois semaines, nos mini lutins havanais, bambins de Mousse et d’Odilon.
Tous se portent très bien.

Leurs yeux sont à présent ouverts, et même si leur vue n’est pas encore nette, ils découvrent ce sens avec beaucoup d’intérêt et de curiosité. Ainsi, l’exploration de leur petit « nid » va bon train.

Leurs sens sont à présents tous présents, puisqu’ils réagissent aux stimulations sonores aussi.

Comme goûts, ils ne connaissent pour le moment que celui du lait de maman, et celui du vermifuge administré qui les fait grimacer. Mais ils ne perdent rien pour attendre : ils ne vont pas tarder à découvrir le goût de la « bouillie », s’ils le veulent bien. Parce que, le lait de maman étant abondant, pas sûr qu’ils se précipitent sur la fameuse bouillie!?…

Leur démarche vacillante progresse un peu chaque jour.
A trois semaines, ils agitent déjà leur petite queue pour montrer leur contentement.
Ils interagissent beaucoup entre eux et avec leur maman.
Et ils ébauchent même de petits aboiements!

Maman Mousse de son côté continue de jouer à merveille son rôle de maman.
Elle est fatiguée, certes, mais cela ne l’empêche pas de jouer par moments avec ses congénères au jardin. Epatante, vraiment, cette petite bonne femme havanaise!

Deux semaines de vie pour nos amours de petits poupons havanais!

La vie est encore très calme dans la maternité. Mais cela ne saurait durer, assurément!
En effet, une fois les yeux de nos chérubins ouverts, la survenue de l’ouïe, il y aura davantage de mouvement. Et chaque jour un peu plus.
Leurs pattes avant les portent toujours mieux. Et bientôt, ils parviendront à supporter le poids de leurs petits corps sur leurs quatre pattes.

Aujourd’hui – ce matin, devrais-je dire, parce que cet après-midi, ce sera peut-être différent – à deux semaines révolues, leurs paupières sont encore closes. Ils ne réagissent pas encore aux émissions sonores non plus.
Ils réagissent à l’arrivée de maman, reconnaissent son odeur, la chaleur de son corps. Savent se déplacer rapidement dans sa direction. Ils interagissent avec elle en tétant ce précieux breuvage qui les fait si joliment prospérer. En la laissant les stimuler pour faire leurs besoins.
Ils commencent à interagir ensemble aussi, se lèchent, se reniflent. Ils recherchent toujours aussi l’autre, cette source de chaleur si bienfaisante, et confortable.

A deux semaines de vie, ils semblent déjà apprécier les caresses offertes.
Et Mousse qui veille jalousement sur ses précieux bambins, accepte de ma part en toute confiance ces instants privilégiés.
Une petite Mousse qui donne évidemment beaucoup de sa personne, sans compter.
Je ne me lasserai de le répéter : tellement de mamans humaines auraient tant à apprendre du dévouement de nos petites chiennes!

Nos chiots ont une semaine.
Ils se portent très bien. Ont un appétit vorace. Sont vifs et débrouilles pour leur jeune âge. Normal, en fait : il s’agit d’arriver le plus vite possible à la source de lait, d’autant plus que la concurrence est de taille. Huit tétines pour sept bébés!
Je remarque une évidence : les chiots des portées comportant plusieurs chiots sont bien plus mobiles que lorsqu’une portée ne comporte qu’un ou même deux chiots.

En une semaine, nos bébés havanais ont pris du volume. Ces jolies rondeurs sont belles à regarder. Et je suis toujours impressionnée de me dire que c’est le lait de maman Mousse qui les fait prospérer ainsi.
La couleur des petites chiennes charbonnées change au fur et à mesure de leur croissance. Les poils poussent, les griffes poussent. Bref, tout est en mouvement!

Et qu’en est-il de notre chère petite maman Mousse? Elle est très adéquate dans son rôle de maman. Elle ne passe plus tout son temps auprès de ses chiots, comme elle le faisait après leur naissance. Une fois la tétée et l’hygiène de ses bébés passées, elle va se coucher sur un sol plus frais que celui de son petit nid. Là, elle se repose tout en gardant une oreille attentive.
Elle rallonge aussi petit à petit ses sorties au jardin avec ses congénères. Tout cela fait partie de son équilibre, de son épanouissement.

Nos chiots ont une semaine aujourd’hui. Les voici en images :

Mousse maman!
Et oui, à deux ans, notre petite Mousse est devenue maman pour la première fois.
Je me réjouissais beaucoup de la découvrir en maman. Et j’avais bien raison de m’en réjouir : cette belle petite Havanaise a hérité du magnifique savoir-faire et savoir-être de sa chère maman Opale.

Les naissances des bébés de Mousse et d’Odilon se sont déroulées en toute sérénité : pas de stress, pas de cri. Juste de l’efficacité dans le calme.
De beaux moments, pleins d’émotion et de joie, assurément!

A deux jours de vie, nos sept nouveaux mini compagnons passent leurs journées et leurs nuits auprès d’une maman hyper attentive à chacun de leurs besoins. Des besoins qui se résument à boire, dormir, éliminer.
Maman, quant à elle, est attentive au moindre son émis par ses bambins, les allaite, les stimule pour qu’ils fassent leurs besoins, élimine lesdits besoins. Et de son côté, elle mange, dort, et sort le temps de faire ses besoins pour retourner au plus vite auprès de ses si précieux trésors.

En devenant maman, Mousse fait de sa maman Opale une toute nouvelle grand-maman. Et notre cher Odilon devient une nouvelle fois papa! Un papa riche de magnifiques petits rejetons pleins d’une belle vigueur.

Place aux images d’une magnifique petite maman à l’instinct si parfait et de ses bébés :

Dans leurs foyers : c’est là que se trouvent à présent nos bébés havanais, bambins d’Ondine et de Jazz.

Nous avons eu le privilège de les élever durant dix semaines, de profiter de leur gentillesse, de leur joie de vivre, de leurs pitreries, de leurs petites bêtises.

Et voilà que le moment est venu de les laisser partir dans leurs foyers.
Une vie nouvelle a ainsi commencé pour eux, loin de leur maman Ondine, de leur papa Jazz, de leur fratrie, de leur meute. Loin des humains qui les ont élevés avec amour.
Et notre souhait pour eux est bien évidemment qu’ils reçoivent autant d’amour au quotidien, toute leur vie durant, dans ce qui est devenu leur foyer.

Merci à leurs familles de les prendre sous leurs ailes avec le même soin que celui d’une poule pour ses poussins. En effet, toute leur vie durant, ils seront dépendants de l’être humain, et incapables de vivre une vie autonome.

Ondine a pour le moment gardé auprès d’elle sa petite Minon, dont nous allons suivre l’évolution encore quelque temps.

Quelques images ci-après de nos chers petits poupons juste avant qu’ils ne quittent l’endroit qui les a vus naître, et passer leurs premières semaines d’existence :

Adieu petite Raïa!

Tu étais si belle, douce et aimante. Et dire que ces belles qualités, tu n’as eu que six petites semaines pour les manifester.
Et pour ma part, je n’ai eu que six petites semaines pour t’aimer, te câliner, t’accompagner sur le chemin de la vie.
J’avais encore tant de belles choses à te faire découvrir durant les semaines que tu étais sensée passer à la vie est belle. Et après moi, ta famille déjà si aimante t’aurait fait partir à la recherche de ce vaste monde avec tant d’amour et de douceur!

Mais la vie en a décidé tout autrement et a été cruelle avec toi de manière si abrupte et inattendue!… Quand je pense à ta si gentille petite personne, et cette fin de vie qui a été la tienne, je suis profondément révoltée!

Rien ne m’est plus intolérable dans ce bas-monde que la souffrance d’êtres innocents!
Nos petits lutins naissent et vivent pour aimer. C’est là leur mission. Et Raïa a su si bien remplir cette mission durant sa courte vie!…

Merci, petite Raïa, pour ce tout petit bout de chemin parcouru ensemble! C’était si doux de te côtoyer! Je garderai toujours de toi un souvenir tendre et ému!
Adieu petite Raïa!