L’adoption d’un chiot peut être le théâtre de scènes bien diverses.
Heureusement, dans la majorité des cas, les choses se passent bien. L’adoptant présente son contexte de vie de manière honnête. Il rend quelquefois visite à son futur petit protégé à l’élevage de manière à déjà tisser des liens avec lui. Puis, vient le jour de l’adoption. Et commence alors une belle vie de bonheurs partagés.
D’autres fois, aussi longtemps que le chiot vit à l’élevage, tout se passe bien. Son futur maître vient le visiter, est conquis par cette merveilleuse petite boule de poils. Et n’attend qu’une chose : le chérir au sein de son foyer.
Mais évidemment qu’entre visiter son chiot à l’élevage, et l’avoir auprès de soi avec toutes les joies et les contraintes que cela représente, il y a un fossé.
Et c’est là que parfois, ce chiot que l’on a choisi et qui ne nous a pas choisis, fait les frais de cette déplorable situation en revenant à l’élevage pour en repartir plus tard. Tant de perturbations qu’un chiot ne mérite clairement pas de vivre.
Ces situations-là, je les déteste, parce qu’un chiot n’est pas un objet que l’on acquiert pour s’en débarrasser sitôt qu’il dérange notre petite vie confortable… On réfléchit, puis on s’engage!
Et puis, il y a cet autre cas de figure, parmi tant d’autres évidemment! Celui de la personne qui souhaite adopter un chiot, vient le visiter, et prend peu à peu conscience que cette future vie avec ce petit être qui deviendra adulte, ne lui correspond pas.
Ce cas s’est présenté avec un chiot de notre actuelle portée, chiot qui du coup se trouve à nouveau à l’adoption.
Cette petite Havanaise, toute en rondeur, est joyeuse et câline à souhait. Et je lui souhaite de « tomber sur » un adoptant présent à ses côtés, sensible, aimant et fidèle!