La neige est encore tombée le 27 février à Neuchâtel, recouvrant mieux le sol que le jour précédent. Il s’est agi de vite en profiter, avant que le soleil et la pluie ne la fassent disparaître. C’est ce que nos lutins se sont empressés de faire. Les photos ci-dessous en témoignent.

Après les courses-poursuites dans la neige, viennent les siestes bien au chaud, souvent serrés les uns contre les autres. C’est toujours touchant de voir la belle amitié et complicité existant entre nos lutins. Il y a des affinités, bien entendu, comme chez les humains. Par exemple, si Ondine est la petite chérie à Odilon, elle est aussi la petite fille chérie à maman Lutine. Et la super pote à sa demi-soeur Eole. Tonton Mookie et sa nièce Lutine, c’est aussi toute une histoire d’amitié, etc, etc.

Ce 26 février où il a neigé à Neuchâtel, on l’attendait impatiemment à la vie est belle.
Cette neige, qui fait le bonheur de nos lutins, ne nous avait pas gratifiés de sa présence de toute la saison. Alors, quand les flocons sont apparus, on s’est dit que cette fois, c’était la bonne. Que la neige allait tenir au sol, et que les lutins pourraient s’y éclater.
Mais cette belle neige, peu égocentrique, avait décidé de partager ce moment de gloire avec l’astre du jour. Malheur! A force de mélanger ainsi le froid et le chaud – le froid de la neige et le chaud du soleil – on a obtenu du tiède. Et le peu de neige restée au sol a vite fait de fondre, sous la douce chaleur du soleil.
Alors? Dans les zones ombragées, on a obtenu un doux mélange de boue et de neige mouillée, alors que sur les parties du terrain exposées au soleil, seule une terre bien mouillée s’offrait à nous.
Ce 26 février où il a neigé à Neuchâtel, notre cher Odilon s’est véritablement éclaté. Les photos ci-dessous le démontrent bien joliment. Quant au reste de la troupe, telle s’est contentée du petit muret dépourvu de neige et de boue. Telle autre a posé délicatement ses jolies pattes sur ce mélange peu attrayant…
Bref, on l’attend toujours, cette belle neige poudreuse recouvrant jusqu’au moindre brin d’herbe d’une terre froide et ferme!

Baila et Milo, deux petits coeurs sur pattes havanais, nés à la vie est belle.
Si Baila est l’une des filles de Barbie et de Jazz, Milo, lui est l’un des garçonnet d’Opale et d’Odilon. La première est âgée de huit ans, alors que le second a quatre mois et demi.
Baila et les siens ont eu la bonne idée d’aller trouver la neige dans les hauteurs, pour le plus grand plaisir de cette petite chérie. En effet, rares sont les Havanais n’appréciant pas cet élément.
Quant à Milo, le voilà ravi de s’ébattre dans la belle campagne neuchâteloise par un soleil hivernal quasi printanier.
Merci, Claire-Lise et Claudia, de ces jolis clins d’oeil qui me ravissent à chaque fois!

Nos bichons havanais – ou tout au moins quelques-uns d’entre eux – rassemblés sur un montage-photos fait maison : voilà pour l’article du jour!
Notre petit père Odilon y figure deux fois. Pas de favoritisme à la vie est belle. Ca s’est juste donné ainsi fortuitement! Sur la première photo, Odilon trône fièrement sur une chaise de bureau. Sur la seconde, la moitié de son joli visage est éclairée par l’astre du jour.
Notre douce Eole, ainsi qu’Opale et Lutine sont elles aussi partiellement éclairées par le soleil. J’aime voir le soleil animer si joliment les robes de nos lutins.
Vous avez certainement reconnu aussi Hélys et Aïcha, âgées respectivement de treize et onze ans. Hélys, ma joyeuse et vive petite crapouillette, et ma petite perle Aïcha.
Et enfin, notre petite Ondine, dans une douce quiétude ensommeillée, qui éveille notre attendrissement.

Ce 20 février 2020, je vous propose en images quelques-unes des petites personnes peuplant la vie est belle.

Commençons par Hélys, onze ans, et Odilon, un an et demi.
Truffe au vent, Hélys semble humer une odeur particulière. Alors que petit prince Odilon nous donne l’impression de nous sourire, fièrement posé aux côtés de ces trois grosses pierres.

Petite Perle Aïcha, treize ans, nous regarde droit dans les yeux, fièrement campée sur ses jolies pattes. Alors que son demi-frère Mookie, huit ans et demie, semble nous dire « Vous me voulez quoi, à me fixer comme ça? ».

Et parmi les petites personnes peuplant la vie est belle, il y a bien sûr nos chats, rarement photographiés ensemble. Ici, Mirage et Corsaire, frères de sang et de coeur.

Et, si au jardin on s’y sent bien, on apprécie tout autant le confort intérieur, le temps d’une petite sieste entre amis sous les doux rayons d’un soleil hivernal.

Trois portraits pour terminer cet article : celui de Lutine, sept ans, maman de notre petite Ondine. Celui d’Eole, quatre ans et demi, fille d’Hélys et de Kenzo. Et celui d’un petit Mirage, certainement en attente de caresses humaines ou de léchouilles canines.
Trois petites personnes aux expressions si différentes et touchantes à la fois!

Le clin d’oeil du jour nous vient de trois de nos petits septuplés d’octobre 2019. Mais oui, la fameuse portée de p’tits gars! On s’en souvient : c’était du jamais vu à la vie est belle, une portée unisexe.
Les fistons d’Opale et d’Odilon qui nous font le petit clin d’oeil du jour, sont Virgule, Milo; et Ciccio et son inséparable compagnon de vie, Hip-Hop.
La cohabitation chiot-chat/chaton semble bien se passer pour ces p’tits gars, si l’on en croit les images ci-dessous. En effet, Virgule dormant blotti contre son compagnon chat. Et Ciccio en symbiose avec « son » chaton Hip-Hop, c’est juste trop touchant à regarder!
Milo, lui, a connu les chats pacifiques de la vie est belle. Mais son expérience avec les félins s’est avérée moins positive ensuite. En effet, un chat voisin de son domicile l’a vilainement attaqué, alors qu’il était en laisse et ne lui avait démontré aucun intérêt.

Nos petits compagnons havanais sont à l’honneur aujourd’hui, de même que leurs amis félins.
Et puis, dans leur environnement proche, le printemps semble annoncer sa venue prochaine. Chaque petite fleur découverte est une promesse de résurrection. L’autre matin, j’ai même entendu un merle nous dire que la nature revient à la vie, après un hiver bien peu rigoureux, c’est vrai. Mais l’hiver – aussi beau soit-il quand la nature se pare de blanc – n’en reste pas moins la saison illustrant quelque part la mort. Une mort nécessaire pour que nous nous émerveillions pareillement devant la nature en pleine résurrection.
Mais revenons-en à nos petits compagnons havanais que je vous propose de contempler dans leur cadre de vie, intérieur cette fois.