Archives mensuelles : août 2024

Nos six p’tits gars

Nos six p’tits gars, bambins de Mousse et d’Odilon, ont atteint leurs deux semaines d’existence.
Tous se portent très bien, sont vifs à souhait, et mignons à croquer.

Question mobilité, les chiots progressent gentiment. Leurs pattes avant parviennent à soutenir l’avant de leur corps. Et ils tentent maladroitement de faire porter le poids de leur corps aux pattes arrière également. Mais là, c’est encore un peu prématuré et si maladroit.

Les charbonnures des trois chiots plus clairs vont en s’atténuer au fil des jours. Alors que les robes noires des trois autres petits sont joliment lustrées.

Nos six p’tits gars nous font patienter pour découvrir la magie de leur premier regard. On se réjouit d’autant plus de les découvrir!

Et la pigmentation des deux chiots les plus clairs se précise chaque jour. C’est quelque chose que j’aime toujours beaucoup voir évoluer.

Ci-dessous, un montage-photos de ces super p’tits gars :

Nos six p'tits gars

Chers petits amis

Ces chers petits amis que nous avons choyés durant une dizaine de semaines à la vie est belle, quel plaisir de les revoir en images!
Certains sont nés tout récemment, tels Nox, Fiby et Star!
D’autres, tel Goliath qui vient de fêter ses quinze ans, nous rappellent des souvenirs plus lointains. Et proches à la fois, puisque Goliath et les siens sont revenus nous trouver.

Je ne remercierai jamais assez ces familles qui ont compris le plaisir que j’éprouve à recevoir des nouvelles de leurs petits protégés. A les revoir en images, et parfois face à face.
Nouvelles ou pas, photos ou pas, ils resteront dans mon coeur jusqu’à la fin de leur existence. Non pas parce qu’ils m’appartiennent, juste parce qu’ils me sont chers!

Quelques mots à présent sur ces chers petits amis en photo ci-dessous!

Ces chers petits amis
L’ami Goliath le jour de ses quinze ans, avec sa chère maîtresse

Voilà encore quelques-uns de ces chers petits amis que nous avons accompagnés durant les premières semaines de leur existence. Et que nous avons pu revoir depuis, pour certains d’entre eux!

Et puis, il y a les plus jeunets. Ceux qui nous ont quittés depuis moins longtemps.
Parmi eux, Opale et Yumi, grandes soeurs des garçonnets de notre actuelle portée.

Et enfin, les trois petites « peluches » de notre portée de mai, actuellement âgées de trois mois. Chacun d’eux découvre depuis quelques semaines la vie au sein de son nouveau foyer. Et deux petits chanceux, Nox et Fiby, ne vivant pas très éloignés l’un de l’autre, ont déjà eu l’occasion de se revoir avec grand bonheur!

Nos six lutinets

Nos six lutinets, bambins de Mousse et d’Odilon, ont atteint leur première semaine révolue hier.
Depuis leur naissance, chacun d’eux a suivi une courbe de poids régulièrement ascendante. Ils sont vifs à souhait, et j’ai bien du plaisir à suivre leur évolution chaque jour.
La pigmentation s’installe gentiment. Non pas chez les petits lutins noirs puisqu’elle était déjà présente chez eux à la naissance. Mais chez les trois plus clairs. Elle est déjà parfaite chez le petit chiot charbonné, et va se mettre en place par couches successives chez les deux autres lutinets.

Mousse s’occupe aussi bien de cette portée qu’elle l’a fait de la précédente. Elle est aux petits soins avec chacun de ses poupons.
Elle accueille chaque visiteur avec force aboiements, histoire de lui signifier qu’il s’agit de se tenir à distance de ses petits protégés.
La baisse de températures entamée ce dernier week-end est bienvenue pour cette petite maman. En effet, souffrir du chaud en plus d’allaiter représente une épreuve pour nos mamans.

Ci-dessous, quelques photos de nos six lutinets et leur maman.

Contrastes

La vie est faite de contrastes parfois saisissants.
Ainsi, joies et tristesses, soleil et pluie, espoirs et déceptions; vie et mort, santé et maladie, peuvent se succéder à grande vitesse…

Hier notre petite Mousse a mis au monde une jolie troupe de garçonnets, dont Odilon est le papa. Sept p’tits gars sont nés, dont l’un était mort-né.
Une douce pensée pour ce p’tit gars qui aurait tellement mérité de gambader aux côtés de ses frérots…

Mousse de son côté a retrouvé ce rôle de maman qu’elle avait si bien assumé lors de sa première portée. C’est vraiment un plaisir d’être à ses côtés dans ces conditions!

Quant à ces six p’tits gars en pleine forme, ils arborent, pour certains la robe foncée de papa. Pour d’autres la robe fauve charbonné de maman. Et l’un d’entre eux nous fait même penser à grand-maman Opale.

Je me réjouis bien évidemment de faire leur connaissance au fil des jours et des semaines qu’ils passeront auprès de nous. De les accompagner dans leur quotidien, de les voir évoluer. Physiquement, mais aussi de découvrir leurs personnalités respectives, toutes uniques.
Le contraste de leurs robes est à l’image du contraste de leurs personnalités, héritées de leurs parents, grands-parents, arrière-grands-parents, et j’en passe.

Parler d’Aïcha

Parler d’Aïcha, c’est parler d’une amie aux côtés de laquelle j’ai eu le privilège de vivre durant plus de dix-sept années.
Aïcha est née au sein de notre foyer un jour de Saint-Valentin. Elle faisait partie de la toute première portée née à la vie est belle. Sa petite bouille si inénarrable, sa personnalité si attachante m’ont touchée dès son plus jeune âge.

Aïcha et moi avons vécu ensemble durant toutes ces années une complicité, une connivence toutes particulières. Probablement que je ne vivrai jamais plus une telle relation! J’ai toujours dit d’Aïcha qu’elle était ma petite perle. Une perle de très grand prix assurément, une perle extrêmement rare.

Aïcha était une petite Havanaise indépendante, douce, discrète, volontaire. Elle savait interagir au sein de sa meute au bon moment, de la bonne façon, sans faire de bruit, de manière efficace.

Parler d’Aïcha, c’est parler d’un être particulièrement cher qui, une fois la vieillesse installée, a peu à peu perdu ses facultés. Jusqu’au jour où, l’aimer a signifié lui lâcher cette patte si tendre tenue depuis si longtemps.

Aujourd’hui Aïcha n’est plus que là dans mon coeur, dans mes souvenirs, sur des photos, des vidéos.
C’est si étrange d’aimer profondément durant des années. Et soudain « l’objet » de cet amour disparaît, et nous aimons… dans le vide!? Quel étrange phénomène que la mort pour les vivants aimant!…