Lutine est née le 28 novembre 2012 à l’élevage de la Vallée du Rêve en Belgique!
Elle est l’une des filles de Babilou et de Gavroche; l’une des petites-filles de Melody et de Gauguin; l’une des nièces d’Aïcha, de Barbie et de Mookie.
Elle est aussi une adorable petite chienne bicolore, blanche et noire, au regard vif, au charme irrésistible, à la délicatesse touchante. Très joliment campée sur ses petites pattes, elle est une joueuse agile et infatigable. Elle vole plus qu’elle ne court.
Lutine ne trahit pas sa vocation de petit chien d’alarme, que tout Havanais se doit d’être!
Le spectacle de la complicité entre Lutine et sa fillette Ondine est unique et si beau à observer!…
Ma chère « p’tite Lulu » que j’aimais tant nous a quittés tellement trop tôt que je ne parviens pas à accepter ce départ…
Hommage à ma si chère petite Lutine
Ma p’tite Lulu…
C’est ainsi que souvent j’aimais t’appeler… Et il y avait tellement d’affection dans ces quelques mots !
Aujourd’hui, je me suis résolue, par respect pour ta petite personne si attachante, à lâcher ta petite pattounette, que j’aurais tellement voulu serrer dans ma main des années encore…
La vie a été cruelle avec toi, et du coup, avec moi aussi, parce que te perdre si tôt est une absurdité, une injustice sans nom, une aberration.
Pourquoi, une si gentille petite Havanaise doit-elle voir sa vie ainsi ravagée par un mal si cruel !?…
Jamais je ne comprendrai et ne pourrai accepter la souffrance, la maladie d’êtres aussi innocents que vous !
Tu as été une vigoureuse petite boule de joie que je me suis régalée d’observer tant et tant de fois !
La plus chouette de tes complices a clairement été ta fille Ondine : que de folles parties de jeu, entre vous deux, de siestes partagées, de beaux moments de partages !
Je disais toujours de toi que tu parlais ! En effet, ta façon d’aboyer, c’était comme si tu conversais avec ton vis-à-vis, que ce soit moi ou toute autre personne.
Lorsque nous accueillions des visiteurs à la maison, d’abord tu leur faisais la conversation. Puis, tu te couchais sur le dos devant eux pour qu’ils caressent ton joli bedon.
Et une autre de tes particularités a été la discrétion de ta petite personne lorsque tu cherchais à te faire câliner.
J’étais assise sur le muret du jardin, et soudain, sans que je ne t’aie vue ni entendue venir, tu étais là, sur mes genoux, attendant que je te couvre de caresses.
J’étais particulièrement sensible à cette manière de faire qui me touchait à chaque fois.
Ma p’tite Lulu, tu as été une adorable petite compagne de vie, si chère à mon cœur !
On a partagé tant de belles choses ensemble depuis le jour où tu nous as rejoints à la vie est belle !
J’aimerais tant pouvoir encore te voir débarquer discrètement sur mes genoux et te couvrir de caresses ! Mais voilà !… Faut bien que je me rende à l’évidence…
Mais ton départ ne m’empêchera pas de garder pour toi une place très tendre dans mon cœur. Une place unique : celle de ma p’tite Lulu !
Adieu, petite chérie, et merci d’avoir tant donné de toi !